Alors que son événement avait été dûment déclaré en préfecture et autorisé par celle-ci, le collectif « Soulager mais pas tuer » s’insurge contre l’interdiction de dernière minute qui lui a été notifiée au moment même du rassemblement des porte-paroles ce jeudi matin devant l’Assemblée nationale.

Le message politique envoyé à l’heure de l’ouverture de l’examen de la proposition de loi du député Olivier Falorni « donnant le droit à une fin de vie libre et choisie » est pour le moins choquant.

De nombreux professionnels de santé et des usagers souhaitaient exposer les raisons de leurs inquiétudes et opposition déterminé face à ce projet. Les porte-paroles soignants, experts et témoins étaient venus parfois de loin, y compris de Belgique. Soulager mais pas tuer dénonce la censure de leur parole.

Dans l’impossibilité d’utiliser les outils digitaux de transmission en direct de sa conférence de presse, Soulager mais pas tuer les publiera ces prochaines heures.