Selon un sondage Ifop pour le collectif Soulager mais pas tuer, conduit le 3 et 4 mars 2021 «  Parmi leurs deux priorités concernant leur propre fin de vie, un peu plus d’un Français sur deux (55%) cite une réponse en lien avec l’accompagnement, dont 38% le fait d’être accompagné par des proches. Ils sont également une petite moitié à mentionner comme priorité le fait de ne pas subir de douleur (48%) et ne pas faire l’objet d’un acharnement thérapeutique (46%) tandis que pouvoir obtenir l’euthanasie est cité par un quart d’entre eux (24).»

Retrouver l’interview de T. Derville, l’un des porte-parole du collectif sur Atlantico